Paroles de Chansons



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POÈMES  INTERNAUTES

 

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Poèmes

 

 Romain

 

 poème pour mon fils disparu le 19 septembre 2003

 

Le Livre de ta vie

 

J’ai ouvert le livre de ta vie

J’ai ouvert le livre de ton cœur

 

Ce que j’ai découvert

m’a fait très peur.

Un grand trait s’était inspiré de ton passé

Un grand trait suivi du mot

« ANNULÉ ».

et le vide couvrait le présent

et l’avenir.

Une succession de pages blanches…

 

Une douleur s’est emparée de moi

une douleur bizarre remplie de remords

une douleur fulgurante de rancœur.

 

J’ai alors pris la plume

mais ma main n’a pu m’obéir

Je n’ai pu aligner aucun mot

sur ces pages blanches .

le vide s’est installé

en incompréhension s’est transformé

le livre s’est refermé

Et mes larmes se sont mises à couler .

 

MAR

 

 

 

 Romain

 

Le chagrin d'une mère

La mort d'un enfant

l'angoisse , la Mort

L'oubli , vous voulez rire.....

 

J'ai perdu mon enfant

Il est parti dans les ténèbres de  la nuit

Il est parti pour ne plus jamais revenir

Il est parti en me faisant souffrir.

 

Je me souviens de son ombre

Je me souviens de son teint hâlé

Je me souviens de ses rires , son sourire

Je me souviens de ses mots , de ses habitudes

de ses joies et de ses peines,

son sérieux et ses coups de colère, forte tête...

Je me souviens de sa sensibilité  fragile

qui se cachait souvent derrière une extrême froideur.

Son esprit volontaire et aventurier

A la recherche de l'Absolu....

Son perfectionnisme qui l'a perdu !!!

 

La souffrance, la peur , le mal

S'accrochent à moi comme le lierre autour des branches.

 

Nostalgie Imbécile

Quand me quitteras-tu ?

Tu me fais mal

Tu m'enveloppes dans l'air de le vie

Tu m'enveloppes dans l'air de la mort.

 

Insoutenable Absence  ...

 

Je me recroqueville dans une plaie

Je ne communique plus

La liaison avec les autres est rompue

Je disparais au fond de l'horizon

Tout m'attire dans le vide, le noir.

 

 

Silence et Absence ...............

 

marie-agnès

 

 

Ombre

 

                                                                            Une ombre passe

une ombre fuit

une ombre, un espace

une vagabonde qui s’enfuit.

 

Elle apparaît

puis disparaît

comme le soleil

à travers un ciel nuageux.

ses formes se démènent

dans un horizon tourmenté.

 

Une ombre passe

une ombre fuit

dans notre univers de glace

dans notre monde d’ennuis.

elle apparaît puis disparaît

quand la nuit s’installe

quand le soleil se cache

quand la lune paraît

quand il est l’heure de te dire

« BONSOIR »

 

MAR

 

 

                              Une Illusion                 

 

Quand on oublie la vie

Quand on oublie les soucis

On ouvre devant soi

La porte du Bonheur .

 

Quand on oublie le monde

Quand on oublie les ondes

on ouvre devant soi

La porte de la chaleur.

 

Quand on pense aux amis

On voudrait ne pas ouvrir

La porte de la Douleur.

 

Le monde du rêve est un monde merveilleux

Où personne  ne peut ne pas être heureux.

 

Mais le rêve n’est qu’une  illusion

où l’on ne rentre qu’à tâtons

et on a la preuve formelle

que vie ne rime pas  avec merveille.

 

Si une lumière surgit

et nous sourit

Méfions-nous

de peur de tomber dans un piège qui nous envoûte

 

N’oublions pas que la vie est un mystère

Où tout n’est pas très clair

Que l’on peut buter

Et ne jamais se relever.

 

MAR

 

 

 

Jardin de la Mémoire

 

Je m’abandonne et je vole

dans le chemin de ma mémoire

pour trouver la rue de l’espoir.

 

Je veux garder tout au fond de moi

Celui qui est parti ;

 

Je crie dans l’éternelle flamme

dans un présent de larmes.

 

Mon cœur sombre et soupire

jour après jour

nuit après nuit

il brûle d’ennui

il soupire de dépit.

 

Je m’abandonne et je vole

dans le jardin de ma mémoire

dans les ruines de la souffrance

sur les sentiers du malheur.

 

Je m’abandonne et je vole

j’attire et j’emprisonne

les ennuis et les malheurs

sur des ondes de douleurs.

MAR

marie-agnès

 

 

 

POUVOIR

 

Il faudrait pouvoir jeter

toutes les ombres du passé .

Il faudrait pouvoir jeter

Tous ces fantômes oubliés.

Il faudrait pouvoir brûler

tous ces mots enchevêtrés.

Il faudrait pouvoir oublier

tous ces visages du Passé.

Il faudrait pouvoir rayer

de nos cœurs , des paroles murmurées.

Il faudrait pouvoir vider

nos rêves angoissés.

Il faudrait pouvoir balayer

les poussières et les papiers.

Il faudrait pouvoir chanter

jouer, danser , sans se lasser.

Il faudrait pouvoir marcher

à tes côtés , à pas cadencés.

 

Mais seule je ne peux avancer

Tu as décidé de nous quitter

et nos rêves se sont brisés.

 

MAR

 marie-agnès

 

 

Oublier

 

                                                              Même si le ciel vient à tomber

Même si le soleil vient à se cacher

même si le blé vient à se dessécher

même si la terre vient à se craqueler.

 

Je n’arriverai pas à t’oublier.

 

Même si les oiseaux viennent à se lamenter

même si les arbres viennent à s’effacer

même si les animaux viennent à crever

même si les fleurs viennent à se faner.

 

Je n’arriverai pas à t’oublier .

 

Même si la vie vient à se sacrifier

même si l’espoir vient à s’évader

même si le bonheur vient à délirer

même si le malheur vient à se diviser.

 

Je n’arriverai pas à t’oublier.

 

Même si tu viens de te cacher

Même si tu viens me faire pleurer

Même si tu viens de m’abandonner

 

Je n’arriverai pas à t’oublier.

 

MAR

  marie-agnès

 

 

 

SYMPHONIE CRÉPUSCULAIRE



Nous habitons un lieu isolé
Que nous ne nommerons jamais
Pour préserver sa tranquillité.
Quelques demeures occupées
Par des résidents à l'année,
D'autres aux volets fermés
Sont celles des vacanciers
Mais toutes rassemblées
Composent notre havre de paix
Entouré de vignes
Et de champs de blé.
La campagne est au bas de l'escalier
Et le chemin creux
Où nous partons promener
Tout de suite après.

Maintenant, écoutez,
Regardez, humez, appréciez
Mais surtout, ne parlez.
Quel moment merveilleux,
Quel instant délicieux
Que celui où Sa Majesté Jour
S'incline devant Dam Nuit !
Écoutez ! Écoutez
Cette merveilleuse symphonie crépusculaire !
Dans la mare de Fabre s'égosillent les crapauds,
Deux ursulines chuintent en stéréo
Sur un tempo de grillons falots
Pendant que le rossignol entonne
Timidement son chant de libido
Le tout sur un discret fond de torpédos
Et d'aboiements de cabots.

De grâce ! Écoutez ! Humez !
Dans un air aussi délicatement parfumé
En ville, jamais vous n'entendrez
Un concert de cette qualité
Sous une voûte d'un bleu gris rosé
Où les étoiles commencent à briller
Et sur un parterre
Discrètement mais joliment piqueté
De vers luisants tout de vert éclairés.

Hmmmmm ! Sublime sérénité !
Mais qui devons-nous remercier
Pour tant de douceur et de beauté
En ce lieu rassemblées.
Le saurons-nous jamais
Pour nous en acquitter ?


Rosemonde France


 

RHAPSODIE POUR UN AMANT



T'aimer ! J'ai envie de t'aimer
Mais mon cœur est déjà occupé
Et aujourd'hui en train de balancer
Entre honnêteté et infidélité.
Ma tête, par une tempête agitée,
Ne sait plus que penser.
Qu'il est difficile de raisonner
Quand les sens sont ainsi malmenés.

T'aimer ! J'ai envie de t'aimer
Pour le temps qu'il nous reste à passer.
Tu es déjà en automne, moi encore en été,
Mais notre vie s'esquive à tout jamais
Et des mois ce seront écoulés
Avant que nous n'ayons rien changé.
Qu'il est pénible de devoir décider
Lorsqu'on est prisonnier de trop de préjugés.

T'aimer ! J'ai envie de t'aimer
Pour quelques heures ou pour l'éternité
Mais il m'est impossible de transgresser
Les principes qu'on m'a inculqués
Et trahir un engagement sacré.
Sur mes sens ma tête va donc l'emporter
Et je garderai ce désir de t'aimer
Jusqu'à mon souffle dernier
Et, si tu partais le premier,
Une heure je ne te survivrais.
Même les yeux à jamais fermés,
Dans cet autre monde peuplé d'étrangers,
Je veux espérer que je te retrouverai
Et que je pourrai m'accorder
Ce qui, sur terre, m'a été refusé : t'aimer !
T'aimer ! Et par toi être enfin aimée.

Rosemonde France



 

Poème tout Spécialement pour Lise, ma Grande Soeur

 

Le Papillon D'or

 

 Comme tout ce qui existe sur cette planète

 J'ai dû m'incarner dans une cellule

 Non, je ne suis pas devenue Libellule

 Mais non plus un Grillon

 Mais un si beau Papillon

 

 Trop souvent ,a-t-on voulu couper mes ailes

 Car j'étais trop Demoiselle

 Je n'avais qu'à les replier

 Pour me faire oublier

 

 J'ai été exposé à bien des vents

 Et j'ai suivi bien des courants

 Mais aujourd'hui,c'est le vent du Sud

 Qui me porte, afin que je me dénude

 

 J'ai paré mon corps avec de l'or

 Mes ailes aussi, je les ai garnies

 Je ne me sens plus en danger

 Je ne me suis que munie

 Que d'un bouclier

 

 Vole,vole Papillon d'or

 Joui de ta Sérénité

 De ta Paix et de ta Beauté

 Et surtout protège ton Corps

 

 Ninic


 

Mon Pays, ma Source de Vie

 

D'un bateau sur une mer salée.

Contre vents et marées .il a accosté

Le Canada,tu nous as donné

Et de toi, un peuple est né

 

La terre non cultivée

La forêt non déboisée

Pour t'établir,il a fallu défricher

Ainsi tes  peines furent récompensées

Et de tes sueurs, un peuple est né

 

Femme tu as su trouver

Fils et Filles,tu as élevés

D'une Famille, tu fus gratifiée

Et de ces gens ,un peuple est né

 

Homme regarde ton Aîné

C'est de Lui que tu es né

Et saches,que tu n'as rien à regretter

Car,c'est de lui qu'un peuple est né

 

Tu paies, le prix de ta Liberté

Sois Grand dans ta Fierté.

De tes efforts ,la paix te seras donnée

Puisque de toi ,un peuple est né

 

Choisis un Pays de liberté.

A la mémoire de tes Aînés

Et souviens-toi,que de ces gens

Un peuple est né   

Ninic

 

 

Jour du Souvenir

 

Mes souvenirs sont mes boucliers

J'en ai des violents à mépriser

J'en ai des tendres pour me bâtir

Et je veux , m'en souvenir

 

Aussi loin que je me souvienne

Il n'y pas  de mauvaise graine

L'arbre,qui est mon corps

Saura toujours être en accord

 

Je saurai,en temps que, Roseau

Me plier,me relever  mais rester haut

Oui,la vie est dure

Mais écoute son murmure

 

Regarde ton Ame, dans le miroir

Belle elle sera,chaque matin et soir

L'homme a compris qu'une guerre ne sert à rien

Qu'elle ne sert qu'à perdre ses biens

 

De ta vie, n'en  reste pas pantois

Vas ton chemin,ton sentier et crois

Même à l' Automne de ta vie

Gardes  Confiance et Espoir et Souries

 

Le 11 Nov , c'est le jour du Souvenir

Accroche sur ton coeur un Coquelicot

Car l'homme est en deuil

De tous ces aïeuls

 

Ce poème, je le dédie  à tous  les Gens

morts aux champs de batailles.

Je baisse la tête, je prie pour ne jamais

connaître votre misère. Ma Vie, j'y tiens

Au revoir, Soldats de toutes les Nations

 

Ninic

 

                                                                                          

Pleine Lune

 

Cette nuit les Loups peuvent crier

C'est aussi pour çà qu'il fait si froid

Elle était si belle pardessus mon toit

Car la Nature,çà j'y crois

Et quand elle s'est coucher,j'ai pu prier

 

Cette nuit les Loups peuvent crier

Ils seront sans pitié

Elle était  belle au dessus du Lac

Elle était grosse en Tabar..... Oups! hi hi

 

Tu aurais le goût de crier

Tes misères ,tu veut cracher

Alors laisses-toi aller.

Tes hurlements ne sont pas déplacer

 

Pour réparer ton Ame blessée

Il te faudra hurler

Comme le loup,tu entreras dans ta tanière

Pour protéger tes arrières

 

Et si tu hurles,ton malheur

Tu retrouveras le bonheur

Pour en être sur

Abats tous tes mûrs

 

Frères et Soeurs, rapprochez vous de la Nature

Elle vous guidera à coup sur

Elle te fera la morale

Sans même te dire un mot oral

 

Ouvrez seulement vos sens

Laissez -vous  guider

Car vous avez assez crié

Pour bien le mériter

 

Maintenant fermez les yeux et priez

Pour que cette journée soit ensoleillée

Nous l'avons tous bien méritée

Bonne Journée ensoleillée

 

Ninic

 

 

Poème  Ami (es)

 

Il est des journées, ou je suis tout aigri

Il est des journées, ou tout me semble gris

Il est des nuits,ou je suis malheureux

Il est des nuits,ou je suis tout fiévreux

Mais il est des matins ou je me sens joyeux

Mais il est des matins ou je me sens très heureux

Mais il est des réveils ou tout est merveilleux

Mais il est des réveils ou je suis amoureux

Que ce soient matins, réveils, journées ou nuits

Ou je me sens bien c'est toujours lorsque je t'écris

 

Jacline

 

 

Tes Mains

 

Tes mains qui caressent la docilité

Tes mains qui caressent la pureté

Tes mains qui poursuivent l'aveu

L'ombre du soir, la pierre fondue

Mains suspendues dans le temps éthéré

Irritent la fleur sauvage

Donnée par la terre à la rivière de mon coeur

Tes mains qui couvrent la lourdeur de l'étincelle

Tes mains, folles fougères

Tes mains qui cachent deux beaux seins.

 

Jacline

 

 

Poème à un correspondant

 

La lune c'est disputée avec le soleil

Elle voulait être avec toi à ton réveil

Elle est jalouse de toujours te voir dormir

Alors que lui te voit toujours courir

Regardes ton ciel et tu verras chaque soir

Que les étoiles aussi se battent pour te voir

Comme ils ont de la chance de t'avoir vu

Moi je dois me contenter de ce que j'ai lu

 

Jacline

 

 

Poème Amitié

 

Lorsque le ciel est toujours gris, je veux être ton soleil

Lorsque cauchemars hante tes nuits, je veux être ton réveil

Lorsque solitude te pèse, je veux être une présence

Lorsque cafard t'envahit, je t'invite à une danse

Lorsque poids de la vie est lourd, je veux être ton courage

Lorsque le doute te poursuit, je veux être ton présage

Mais....

Lorsque vie me semble triste je la remplace par ton visage

Lorsque les jours semblent longs alors je relis tes messages

Lorsque vie m'offre gaieté alors je veux te la donner

Lorsque le monde n'est que mochetés par toi je veux le remplacer

Lorsque silence noircit ma vie alors j'entends ta voix si belle

J'en suis certain notre Amitié est bien réelle

 

Jacline

 

 

PRIÈRE

 

Seigneur, toi que j’ai perdu au travers mes larmes

Toi que j’ai négligé car j’ai vécu des drames

Toi qui me soutiens malgré ton gros chagrin

Toi qui n’as pas peur de m’aimer à chaque matin

 

Toi qui as disparu car tellement grande était ma peine

Toi qui n’a pas tenu compte de ma haine

Toi qui reçois tous mes désarrois

Tu m’aides dans mes épreuves malgré ce que je crois

 

Tu m’enseignes l’amour qui se dévoue malgré tout

Tu me dis que l’amour n’est pas ce que je crois

Tu m’enseignes le pardon et l’amour de moi

Et tu me combles comme dans mes rêves les plus fous

 

Je te demande pardon de mes égarements passés

Mais mon cœur souffrait d’avoir été mal aimé

Et aujourd’hui je veux par ce poème te demander

De continuer de m’habiter et ne pas m’abandonner

 

Je sais je ne mérite pas ton pardon

Mais je te le demande de toute façon

Car sans toi ma vie a été bien triste

Et je me sentais très égoïste

 

Donne-moi la paix dans mon cœur qui pleure encore

Qui est plein de tristesse et de remords

Mais qui n’a jamais oublié malgré tout

Que tu y es présent et même beaucoup

 

Je t’aime Seigneur avec tout ce que je suis

Et j’espère que cette prière montera jusqu’à Toi

Je vais tâcher de faire une meilleure vie

Car je veux la terminer dans tes bras.

 

Christiane Laflamme

 

 

Roxane

 

Jeune et douce demoiselle

Tu entres dans la vie

Soit fier d'être ici

Sur une terre, l'une de celle

 

Qui de ton envie sans doute

Deviendra si grande,maintenant

Soit à l'écoute

De toi,de tes parents

 

Le conseil d'une mère

Et celui d'un père

Vaut mille fois celui d'un dieu

De toi je suis envieux

 

La sagesse de la douce nuit

Me fait faire des écris

Mais crois en un poète nouveau

L'envie de la connaissance vaut

 

Plus encore que celle de la joie

Alors avant de voir le mal

Vois ceux qui t'aime,toi

Vois ceux qui te rends comme normal

 

Une fille qui deviendra femme

Regarde ton papa,ta maman

Regarde dans ton âme

Ceux que tu aimes vraiment

 

Christophe

 

 

Noces de porcelaine

 

En ce jour de félicité,

Puissiez-vous de bonheur être comblés,

Vous remémorant les belles années passées

Et aspirant toujours un peu plus à l'éternité.

Que chaque jour soit meilleur que le précédent,

Enivré de l'amour que nous nous donnerons à chaque instant !

Que le nectar de la vie soit le moment présent

Et que la tendresse, telle le lierre, nous unisse profondément !

 

Aurélie. C

 

 

Veux tu ????


Veux tu venir avec moi dans mon canot
Viens doucement au fil de l'eau
Et permets-moi de t'emmener
Sur la rivière de.......


Chassons d'un souffle, les nuages
Pour voir défiler le paysage
Imprègne-toi de la nature
Écoute l'eau qui murmure
Des mots tendres et apaisants
Elle parle de la vie du vent... tu entends? moi oui
Écoute les oiseaux rieurs
Savoure ces moments enchanteurs
Laisse leur musique t'envoûter
Sur la rivière de ......

Installe-toi confortablement
Dans ce monde fertile et verdoyant
Découvre la sérénité
Dont les richesses te sont données
Laissons couler le temps
Suivons les caprices du courant
Et cessons même de ramer
Sur la rivière de ......

Chasse un à un tous tes soucis
Qui assombrissent parfois ta vie
Les éclaboussures d'écume
T'enlèveront chagrin, rancœur et amertume
Je t'offre un monde de douceur du moins si je le peux
Viens, laisse un peu voguer ton cœur
Vivons une trêve dans ce monde insensé
Sur la rivière de.....

je dédie ce poème a une personne qui devient très importante a mon coeur Loup


 

Ange Bleue

 

 

 

Être avec toi




Pouvoir parler de nos vies, des  projets,
Laisser un peu la nostalgie nous envahir.
Pouvoir me sentir vivre au creux du bonheur,
Près de toi, pouvoir m'épanouis telle une fleur.
Pour oublier les  soucis, les problèmes,
Près de toi, meurent toutes les peines.
Pour que tu sentes en moi de la chaleur
mais tu n'es pas la
Viens tout contre moi, en coeur à coeur.
Pour ne plus avoir peur du temps fuyant,
Pour tout te donner: à toi que j'aimerai tant.

Pour parler de choses drôles, de bêtises.
Tu sais mes pensées sans que je les dise. et oui
Pour se dire, enfin, que la vie est belle
Quand toutes les pensées ont des ailes.
Pour être dans le confort de l'amour,
Pour renaître, chaque nuit, chaque jour.
Pour rester à se regarder longuement,
Laisser les  yeux dire les  sentiments.
Pour échanger des mots tout doux,
Pour laisser un baiser dans ton cou.
Mais tu n'est pas là

Pour serrer ta main dans la mienne,
Pour chauffer ma main dans la tienne.
Pour rêver d'être toujours celui que j'apprend a aimer
Et qu'importent l'heure et l'endroit.
Pour parler tout bas dans ton oreille,

Pour te faire partager mon monde,
Toute ma vie: mes joies, mes ombres.
Pour se livrer à des moments intimes,
Qui nous transportent en haut des cimes.
Mais il es pas encore près de moi

Pouvoir avancer ensemble, main dans la main,
Pour avancer sans que nos efforts soient vains.
Pour ouvrir les  yeux sur un nouveau jour,
Un jour pur, porté par l'espoir et l'amour.
Pour savoir que tu habites ma vie, mon moi,
Pour sentir ton toi au plus profond de moi.
Pour nous envoler dans un ciel sans barrières,
S'enfuir, le temps d'un rêve, de cette Terre.
Pour te couvrir d'un lit de fleurs, de douceur,
Pour dessiner sur ton corps un gros coeur.

Pouvoir trouver et toucher l'infini dans le  plaisirs,
Pouvoir, en se regardant, laisser s'échapper un rire.
Pouvoir r te serrer tout contre moi, si tu as froid,
Pouvoir représenter un refuge contre tes effrois.
Pouvoir déplacer des montagnes avec trois mots,
Qui parfois s'expriment sans que ne se dise mot.

Pouvoir  surmonter les abîmes que l'un ou l'autre traverse,
Pouvoir  être deux êtres entourés de voiles de tendresse.
Pouvoir nous sentir privilégiés, pour s'être trouvés,
Pour croire dur comme fer en nous, en l'éternité.
Pouvoir  recommencer une nouvelle vie avec celui qui viendra
Pourvoir me donner toute entière dans cet amour là.
Pouvoir dire   que je t'aime à jamais,
Que dans ma vie, il y a  ça de vrai.
Pourvoir vivre tes envies, tes rêves, tes jours, tes nuits

je t'aimerai toi qui lira ses mots ils sont pour toi  simplement pour toi

 

Ange Bleue

 

 

POUR ÊTRE HEUREUX

Il ne faut que des fleurs
Un filtre de soleil
Et quelques grains de bonheur
Le cri d'un enfant, le toit d'une maison
Et la brise du vent.

Pour être heureux
Il suffit de s'entourer de vertus
S'emmitoufler d'amour
Se nourrir de passion
Prendre dans sa main celle d'un être cher
Regarder vers le ciel en oubliant la terre
Fermer les yeux sur la passé
Pour les ouvrir sur le rêve.

Pour être heureux
Il ne faut plus penser
Que l'on puisse être malheureux
Il faut changer une larme en sourire
Et aller droit de l'avant.

Pour être heureux
Entre nous...
Il faut si peu !

marti

         AU ZOO

 

Dans les yeux d'un singe,

j'ai vu la misère, l'ennui, la souffrance.

Dans le regard d'un éléphant,

j'ai vu l'envie de s'évader de cette prison.

Dans le regard d'un ours,

j'ai vu l'envie de fuir le monde de l'homme,

la peur, la pitié, la supplication.

Enfin dans les cris d'un dauphin,

j'ai compris que je vivais dans un monde pourri,

dans une société de misère animal et humaine.

j'ai pensé aux enfants du tiers monde,

aux malades, aux handicapés, à la mort.

A la haine de l'homme pour  l'homme,

a la haine de l'homme envers les animaux.

L'homme ne voit que l'argent, encore et toujours l'argent.

Mais la misère de l'être vivant, on s'en fout.

L'humiliation d'un être dans une cage, on s'en fout.

Enfermé à vie, condamné sans avoir été jugé,

sans savoir ni pourquoi ni comment?

Expatrié à vie pourquoi?

La France, L'Amérique, L'Angleterre.

Et je ne sais où encore?..................

 

Retirer de son élément naturel un animal,

c'est le condamner a mort a petit feu....................

 

 

Poème de Nathalie DUHAMEL écris en juin 1979 après une douloureuse

visite au zoo de Marseille (Alpes Maritimes)

 

                                                          Nathalie

 

Avec toi

 

J'aimerais être une larme pour sortir de tes yeux ,

Vivre sur ta joue ,

Et mourir sur tes lèvres  .

 

Ysis (Maeva)

 

 

A tous mes professeurs

 

Durant toute cette année

J’ai été ravie de vous avoir

Car vous m’avez apportée

Votre soutien , votre savoir

 

Merci pour votre patience

Quand je ne comprenais pas

Merci  pour votre confiance

Merci d’avoir été là

 

A tous mes professeurs

Je veux dire aujourd'hui

Que mon plus grand bonheur

Est de vous dire encore merci

Nanou

 

 

mon vieux

dans son vieux pardessus râper

il s'en allais l hivers,l'été

dans le petit matin frileux mon vieux

il n y avait qu un dimanche par semaine

les autres jours s étais la graines

qu on allait gagner

comme on peut mon vieux

l été on allait voir mer

tu vois  sétais pas la misère

ce n étais pas non plus le paradis

le reste temps

dans son vieux pardessus râper

il a pris pendant des années

le même bus de banlieue mon vieux

le soir en rentrent du boulot il s asseyais

sans dire un mot

il était du genre silencieux mon vieux

le dimanche il mettait la table

on ne recevait jamais personnes

ca ne le rendais pas malheureux

je crois mon vieux

dans son vieux pardessus râper

les jours depaie quand il rentrait

on l entendais geuler un peu

il connaissait la chanson

toute joie passait

le patron par la gouche la droite

même le bon dieu avec mon vieux

cher nous n'avions pas la télé

ses  dehors que j allais

chercher pendant quelques heures  d évasion

je sais ses cons

dire que j ai passé des année a coté de lui  sans le regarder

il avait à peine ouverts les yeux nous deux

j auraient pu s étais pas malin faire avec lui un bout de chemin

ca l auraient peut être rendu heureux mon vieux

mais quand on a juste quinze ans on a pas le coeur assez grand

pour loger toute ses choses la tu vois

maintenant qu il est loin diis -ci en pensant à tous sa je me dis

j aimeraient bien qu il soit tout près de moi papa

trouver sur le net

de Daniel Guichard

 

 

Texte écrit par une vieille dame terminant sa vie en "gériatrie". Les soignants ont retrouvé cette lettre sous son oreiller après son décès...02-2OO2

 

La vieille dame grincheuse...

Que vois-tu, toi qui me soignes,
que vois-tu ?

Quand tu me regardes,
que penses-tu ?

Une vieille femme grincheuse,
un peu folle,
le regard perdu, qui bave quand elle mange et ne répond jamais
quand tu dis d'une voix forte
"essayez" et qui
semble ne prêter aucune attention à ce qu'elle fait...

Qui docile ou non,
te laisse faire à ta guise,
le bain et les repas pour occuper la longue journée.

C'est ça que tu penses,
c'est ça que tu vois ?

Alors ouvre les yeux,
ce n'est pas moi.

Je vais te dire qui je suis, assise là, tranquille,
me déplaçant à ton ordre,
mangeant quand tu veux...
je suis la dernière des dix,
avec un père, une mère;
des frères, des soeurs
qui s'aiment entre eux...

Une jeune fille de seize ans,
des ailes aux pieds,
rêvant que bientôt elle
rencontrera un fiancé...

Déja vingt ans,
mon coeur bondit de joie
au souvenir des voeux que j'ai fait ce jour-là.

J'ai vingt-cinq ans maintenant et un enfant à moi,
qui a besoin de moi, pour lui construire une maison...

Une femme de trente ans, mon enfant grandit vite; nous sommes liés l'un à l'autre par des liens qui dureront...

Quarante ans, bientôt il ne sera plus là,  mais mon homme est à mes cotés et veille sur moi.

Cinquante ans,
à nouveau jouent autour de moi
des bébés.

Nous revoilà avec des enfants,
moi et
mon bien-aimé.

Voici les jours noirs,
mon mari meurt.

Je regarde vers le futur
en frémissant de peur
car mes enfants sont très occupés pour élever les leurs  et je pense aux années et à l'amour que j'ai connus.

Je suis vieille maintenant et la vie est cruelle et elle s'amuse à faire passer la vieille pour folle.

Mon corps s'en va.
Grâce et forme m'abandonnent.

Et il y a une pierre là où jadis il y avait un coeur.

Mais dans cette vieille carcasse,
la jeune fille demeure.
Le vieux coeur se gonfle sans relâche.
Je me souviens des joies et des peines. Et à nouveau je revis ma vie et j'aime .
Je repense aux années trop courtes et trop vite passées
et accepte cette réalité implacable.

Alors, ouvre les yeux, toi qui me regardes et qui me soignes.

Ce n'est pas la vieille femme grincheuse que tu vois...

Regarde mieux et tu verras...

Source : Nicloe Le G

 

 

 

       A TOUS LES AMOUREUX


  OUI, A TOUS LES AMOUREUX
JE SOUHAIT UNE EXCELLENT
  FÊTE AVEC DE LA TENDRESSE 

TOUTE LA VIE ET DU BONHEUR

 AUSSI TOUTE LA VIE;
 POUR LES ISOLES
  QU ‘ ILS TROUVENT
      UNE FAMILLE POUR ÊTRE HEUREUX.

 POUR CEUX QUI N ‘ ONT
  PAS DE LOGEMENT DU TRAVAIL
 ET UN LOGEMENT CONFORTABLE
 POUR FONDER UNE FAMILLE

FAIT A TOULON PAR BABOU LE 17/2/05

  

À MON AMI

Cupidon, le Dieu de l’amour

Pourquoi? As-tu percé mon cœur

De jeunesse, du haut de ta tour

Sachant qu’il sera déjà ailleurs

Me laissant ce perdu, sans retour

Souvenir d’une lointaine lueur.

 

Cupidon, de ta flèche tu choisis

Symbole  recherché de l’amour

Où étais-tu ce jour, mon appui

Que l’ange de ses ailes de velours

Était venu l’ayant accueilli

Là haut là haut pour toujours.

 

Cupidon, blessé je fus

Ce jour là versant des larmes

Chaudes, pleines de tristesse émues

Le cœur meurtri sans arme

Spectacle, brouillant ma vue

Cœur déchiré jusqu’à l’âme.

 

Cupidon, sans un mot d’espoir

Tu m’as quand même fait un cadeau

Je garde dans mon cœur, pouvoir

L’aimer jusqu’au delà, plus haut

Des cieux, rejoindre un jour, le voir

Briller comme les étoiles, sans mots.

 

Cupidon, le Dieu de l’amour

Toi qui projettes tant de chaleur

Parfois tristesse, de ces jours

Plus sombre, mais sans trop de rancœur

Paix amour recherchons toujours

Sur terre le secret, c’est le bonheur.

 

Poème inédit

Jacqueline Savard

Passer une belle journée x x x x x x x

Bonjour mes amis(es)

Mon amie Rosanne m'a fait ce beau cadeau,

avec mon poème! Je le partage avec vous!!!

Aujourd'hui  pour la ST Valentin.

Bonne fin de journée amusez vous bien!.

Amicalement Jacqueline

 

 

 

  Paroles de Chansons




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POÈMES  INTERNAUTES

 

Ami(e)s internautes, si vous avez des poèmes

cet emplacement est pour vous

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avec votre nom

 

 

Poèmes

 

 Romain

 

 poème pour mon fils disparu le 19 septembre 2003

 

Le Livre de ta vie

 

J’ai ouvert le livre de ta vie

J’ai ouvert le livre de ton cœur

 

Ce que j’ai découvert

m’a fait très peur.

Un grand trait s’était inspiré de ton passé

Un grand trait suivi du mot

« ANNULÉ ».

et le vide couvrait le présent

et l’avenir.

Une succession de pages blanches…

 

Une douleur s’est emparée de moi

une douleur bizarre remplie de remords

une douleur fulgurante de rancœur.

 

J’ai alors pris la plume

mais ma main n’a pu m’obéir

Je n’ai pu aligner aucun mot

sur ces pages blanches .

le vide s’est installé

en incompréhension s’est transformé

le livre s’est refermé

Et mes larmes se sont mises à couler .

 

MAR

 

 

 

 Romain

 

Le chagrin d'une mère

La mort d'un enfant

l'angoisse , la Mort

L'oubli , vous voulez rire.....

 

J'ai perdu mon enfant

Il est parti dans les ténèbres de  la nuit

Il est parti pour ne plus jamais revenir

Il est parti en me faisant souffrir.

 

Je me souviens de son ombre

Je me souviens de son teint hâlé

Je me souviens de ses rires , son sourire

Je me souviens de ses mots , de ses habitudes

de ses joies et de ses peines,

son sérieux et ses coups de colère, forte tête...

Je me souviens de sa sensibilité  fragile

qui se cachait souvent derrière une extrême froideur.

Son esprit volontaire et aventurier

A la recherche de l'Absolu....

Son perfectionnisme qui l'a perdu !!!

 

La souffrance, la peur , le mal

S'accrochent à moi comme le lierre autour des branches.

 

Nostalgie Imbécile

Quand me quitteras-tu ?

Tu me fais mal

Tu m'enveloppes dans l'air de le vie

Tu m'enveloppes dans l'air de la mort.

 

Insoutenable Absence  ...

 

Je me recroqueville dans une plaie

Je ne communique plus

La liaison avec les autres est rompue

Je disparais au fond de l'horizon

Tout m'attire dans le vide, le noir.

 

 

Silence et Absence ...............

 

marie-agnès

 

 

Ombre

 

                                                                            Une ombre passe

une ombre fuit

une ombre, un espace

une vagabonde qui s’enfuit.

 

Elle apparaît

puis disparaît

comme le soleil

à travers un ciel nuageux.

ses formes se démènent

dans un horizon tourmenté.

 

Une ombre passe

une ombre fuit

dans notre univers de glace

dans notre monde d’ennuis.

elle apparaît puis disparaît

quand la nuit s’installe

quand le soleil se cache

quand la lune paraît

quand il est l’heure de te dire

« BONSOIR »

 

MAR

 

 

                              Une Illusion                 

 

Quand on oublie la vie

Quand on oublie les soucis

On ouvre devant soi

La porte du Bonheur .

 

Quand on oublie le monde

Quand on oublie les ondes

on ouvre devant soi

La porte de la chaleur.

 

Quand on pense aux amis

On voudrait ne pas ouvrir

La porte de la Douleur.

 

Le monde du rêve est un monde merveilleux

Où personne  ne peut ne pas être heureux.

 

Mais le rêve n’est qu’une  illusion

où l’on ne rentre qu’à tâtons

et on a la preuve formelle

que vie ne rime pas  avec merveille.

 

Si une lumière surgit

et nous sourit

Méfions-nous

de peur de tomber dans un piège qui nous envoûte

 

N’oublions pas que la vie est un mystère

Où tout n’est pas très clair

Que l’on peut buter

Et ne jamais se relever.

 

MAR

 

 

 

Jardin de la Mémoire

 

Je m’abandonne et je vole

dans le chemin de ma mémoire

pour trouver la rue de l’espoir.

 

Je veux garder tout au fond de moi

Celui qui est parti ;

 

Je crie dans l’éternelle flamme

dans un présent de larmes.

 

Mon cœur sombre et soupire

jour après jour

nuit après nuit

il brûle d’ennui

il soupire de dépit.

 

Je m’abandonne et je vole

dans le jardin de ma mémoire

dans les ruines de la souffrance

sur les sentiers du malheur.

 

Je m’abandonne et je vole

j’attire et j’emprisonne

les ennuis et les malheurs

sur des ondes de douleurs.

MAR

marie-agnès

 

 

 

POUVOIR

 

Il faudrait pouvoir jeter

toutes les ombres du passé .

Il faudrait pouvoir jeter

Tous ces fantômes oubliés.

Il faudrait pouvoir brûler

tous ces mots enchevêtrés.

Il faudrait pouvoir oublier

tous ces visages du Passé.

Il faudrait pouvoir rayer

de nos cœurs , des paroles murmurées.

Il faudrait pouvoir vider

nos rêves angoissés.

Il faudrait pouvoir balayer

les poussières et les papiers.

Il faudrait pouvoir chanter

jouer, danser , sans se lasser.

Il faudrait pouvoir marcher

à tes côtés , à pas cadencés.

 

Mais seule je ne peux avancer

Tu as décidé de nous quitter

et nos rêves se sont brisés.

 

MAR

 marie-agnès

 

 

Oublier

 

                                                              Même si le ciel vient à tomber

Même si le soleil vient à se cacher

même si le blé vient à se dessécher

même si la terre vient à se craqueler.

 

Je n’arriverai pas à t’oublier.

 

Même si les oiseaux viennent à se lamenter

même si les arbres viennent à s’effacer

même si les animaux viennent à crever

même si les fleurs viennent à se faner.

 

Je n’arriverai pas à t’oublier .

 

Même si la vie vient à se sacrifier

même si l’espoir vient à s’évader

même si le bonheur vient à délirer

même si le malheur vient à se diviser.

 

Je n’arriverai pas à t’oublier.

 

Même si tu viens de te cacher

Même si tu viens me faire pleurer

Même si tu viens de m’abandonner

 

Je n’arriverai pas à t’oublier.

 

MAR

  marie-agnès

 

 

 

SYMPHONIE CRÉPUSCULAIRE



Nous habitons un lieu isolé
Que nous ne nommerons jamais
Pour préserver sa tranquillité.
Quelques demeures occupées
Par des résidents à l'année,
D'autres aux volets fermés
Sont celles des vacanciers
Mais toutes rassemblées
Composent notre havre de paix
Entouré de vignes
Et de champs de blé.
La campagne est au bas de l'escalier
Et le chemin creux
Où nous partons promener
Tout de suite après.

Maintenant, écoutez,
Regardez, humez, appréciez
Mais surtout, ne parlez.
Quel moment merveilleux,
Quel instant délicieux
Que celui où Sa Majesté Jour
S'incline devant Dam Nuit !
Écoutez ! Écoutez
Cette merveilleuse symphonie crépusculaire !
Dans la mare de Fabre s'égosillent les crapauds,
Deux ursulines chuintent en stéréo
Sur un tempo de grillons falots
Pendant que le rossignol entonne
Timidement son chant de libido
Le tout sur un discret fond de torpédos
Et d'aboiements de cabots.

De grâce ! Écoutez ! Humez !
Dans un air aussi délicatement parfumé
En ville, jamais vous n'entendrez
Un concert de cette qualité
Sous une voûte d'un bleu gris rosé
Où les étoiles commencent à briller
Et sur un parterre
Discrètement mais joliment piqueté
De vers luisants tout de vert éclairés.

Hmmmmm ! Sublime sérénité !
Mais qui devons-nous remercier
Pour tant de douceur et de beauté
En ce lieu rassemblées.
Le saurons-nous jamais
Pour nous en acquitter ?


Rosemonde France


 

RHAPSODIE POUR UN AMANT



T'aimer ! J'ai envie de t'aimer
Mais mon cœur est déjà occupé
Et aujourd'hui en train de balancer
Entre honnêteté et infidélité.
Ma tête, par une tempête agitée,
Ne sait plus que penser.
Qu'il est difficile de raisonner
Quand les sens sont ainsi malmenés.

T'aimer ! J'ai envie de t'aimer
Pour le temps qu'il nous reste à passer.
Tu es déjà en automne, moi encore en été,
Mais notre vie s'esquive à tout jamais
Et des mois ce seront écoulés
Avant que nous n'ayons rien changé.
Qu'il est pénible de devoir décider
Lorsqu'on est prisonnier de trop de préjugés.

T'aimer ! J'ai envie de t'aimer
Pour quelques heures ou pour l'éternité
Mais il m'est impossible de transgresser
Les principes qu'on m'a inculqués
Et trahir un engagement sacré.
Sur mes sens ma tête va donc l'emporter
Et je garderai ce désir de t'aimer
Jusqu'à mon souffle dernier
Et, si tu partais le premier,
Une heure je ne te survivrais.
Même les yeux à jamais fermés,
Dans cet autre monde peuplé d'étrangers,
Je veux espérer que je te retrouverai
Et que je pourrai m'accorder
Ce qui, sur terre, m'a été refusé : t'aimer !
T'aimer ! Et par toi être enfin aimée.

Rosemonde France



 

Poème tout Spécialement pour Lise, ma Grande Soeur

 

Le Papillon D'or

 

 Comme tout ce qui existe sur cette planète

 J'ai dû m'incarner dans une cellule

 Non, je ne suis pas devenue Libellule

 Mais non plus un Grillon

 Mais un si beau Papillon

 

 Trop souvent ,a-t-on voulu couper mes ailes

 Car j'étais trop Demoiselle

 Je n'avais qu'à les replier

 Pour me faire oublier

 

 J'ai été exposé à bien des vents

 Et j'ai suivi bien des courants

 Mais aujourd'hui,c'est le vent du Sud

 Qui me porte, afin que je me dénude

 

 J'ai paré mon corps avec de l'or

 Mes ailes aussi, je les ai garnies

 Je ne me sens plus en danger

 Je ne me suis que munie

 Que d'un bouclier

 

 Vole,vole Papillon d'or

 Joui de ta Sérénité

 De ta Paix et de ta Beauté

 Et surtout protège ton Corps

 

 Ninic


 

Mon Pays, ma Source de Vie

 

D'un bateau sur une mer salée.

Contre vents et marées .il a accosté

Le Canada,tu nous as donné

Et de toi, un peuple est né

 

La terre non cultivée

La forêt non déboisée

Pour t'établir,il a fallu défricher

Ainsi tes  peines furent récompensées

Et de tes sueurs, un peuple est né

 

Femme tu as su trouver

Fils et Filles,tu as élevés

D'une Famille, tu fus gratifiée

Et de ces gens ,un peuple est né

 

Homme regarde ton Aîné

C'est de Lui que tu es né

Et saches,que tu n'as rien à regretter

Car,c'est de lui qu'un peuple est né

 

Tu paies, le prix de ta Liberté

Sois Grand dans ta Fierté.

De tes efforts ,la paix te seras donnée

Puisque de toi ,un peuple est né

 

Choisis un Pays de liberté.

A la mémoire de tes Aînés

Et souviens-toi,que de ces gens

Un peuple est né   

Ninic

 

 

Jour du Souvenir

 

Mes souvenirs sont mes boucliers

J'en ai des violents à mépriser

J'en ai des tendres pour me bâtir

Et je veux , m'en souvenir

 

Aussi loin que je me souvienne

Il n'y pas  de mauvaise graine

L'arbre,qui est mon corps

Saura toujours être en accord

 

Je saurai,en temps que, Roseau

Me plier,me relever  mais rester haut

Oui,la vie est dure

Mais écoute son murmure

 

Regarde ton Ame, dans le miroir

Belle elle sera,chaque matin et soir

L'homme a compris qu'une guerre ne sert à rien

Qu'elle ne sert qu'à perdre ses biens

 

De ta vie, n'en  reste pas pantois

Vas ton chemin,ton sentier et crois

Même à l' Automne de ta vie

Gardes  Confiance et Espoir et Souries

 

Le 11 Nov , c'est le jour du Souvenir

Accroche sur ton coeur un Coquelicot

Car l'homme est en deuil

De tous ces aïeuls

 

Ce poème, je le dédie  à tous  les Gens

morts aux champs de batailles.

Je baisse la tête, je prie pour ne jamais

connaître votre misère. Ma Vie, j'y tiens

Au revoir, Soldats de toutes les Nations

 

Ninic

 

                                                                                          

Pleine Lune

 

Cette nuit les Loups peuvent crier

C'est aussi pour çà qu'il fait si froid

Elle était si belle pardessus mon toit

Car la Nature,çà j'y crois

Et quand elle s'est coucher,j'ai pu prier

 

Cette nuit les Loups peuvent crier

Ils seront sans pitié

Elle était  belle au dessus du Lac

Elle était grosse en Tabar..... Oups! hi hi

 

Tu aurais le goût de crier

Tes misères ,tu veut cracher

Alors laisses-toi aller.

Tes hurlements ne sont pas déplacer

 

Pour réparer ton Ame blessée

Il te faudra hurler

Comme le loup,tu entreras dans ta tanière

Pour protéger tes arrières

 

Et si tu hurles,ton malheur

Tu retrouveras le bonheur

Pour en être sur

Abats tous tes mûrs

 

Frères et Soeurs, rapprochez vous de la Nature

Elle vous guidera à coup sur

Elle te fera la morale

Sans même te dire un mot oral

 

Ouvrez seulement vos sens

Laissez -vous  guider

Car vous avez assez crié

Pour bien le mériter

 

Maintenant fermez les yeux et priez

Pour que cette journée soit ensoleillée

Nous l'avons tous bien méritée

Bonne Journée ensoleillée

 

Ninic

 

 

Poème  Ami (es)

 

Il est des journées, ou je suis tout aigri

Il est des journées, ou tout me semble gris

Il est des nuits,ou je suis malheureux

Il est des nuits,ou je suis tout fiévreux

Mais il est des matins ou je me sens joyeux

Mais il est des matins ou je me sens très heureux

Mais il est des réveils ou tout est merveilleux

Mais il est des réveils ou je suis amoureux

Que ce soient matins, réveils, journées ou nuits

Ou je me sens bien c'est toujours lorsque je t'écris

 

Jacline

 

 

Tes Mains

 

Tes mains qui caressent la docilité

Tes mains qui caressent la pureté

Tes mains qui poursuivent l'aveu

L'ombre du soir, la pierre fondue

Mains suspendues dans le temps éthéré

Irritent la fleur sauvage

Donnée par la terre à la rivière de mon coeur

Tes mains qui couvrent la lourdeur de l'étincelle

Tes mains, folles fougères

Tes mains qui cachent deux beaux seins.

 

Jacline

 

 

Poème à un correspondant

 

La lune c'est disputée avec le soleil

Elle voulait être avec toi à ton réveil

Elle est jalouse de toujours te voir dormir

Alors que lui te voit toujours courir

Regardes ton ciel et tu verras chaque soir

Que les étoiles aussi se battent pour te voir

Comme ils ont de la chance de t'avoir vu

Moi je dois me contenter de ce que j'ai lu

 

Jacline

 

 

Poème Amitié

 

Lorsque le ciel est toujours gris, je veux être ton soleil

Lorsque cauchemars hante tes nuits, je veux être ton réveil

Lorsque solitude te pèse, je veux être une présence

Lorsque cafard t'envahit, je t'invite à une danse

Lorsque poids de la vie est lourd, je veux être ton courage

Lorsque le doute te poursuit, je veux être ton présage

Mais....

Lorsque vie me semble triste je la remplace par ton visage

Lorsque les jours semblent longs alors je relis tes messages

Lorsque vie m'offre gaieté alors je veux te la donner

Lorsque le monde n'est que mochetés par toi je veux le remplacer

Lorsque silence noircit ma vie alors j'entends ta voix si belle

J'en suis certain notre Amitié est bien réelle

 

Jacline

 

 

PRIÈRE

 

Seigneur, toi que j’ai perdu au travers mes larmes

Toi que j’ai négligé car j’ai vécu des drames

Toi qui me soutiens malgré ton gros chagrin

Toi qui n’as pas peur de m’aimer à chaque matin

 

Toi qui as disparu car tellement grande était ma peine

Toi qui n’a pas tenu compte de ma haine

Toi qui reçois tous mes désarrois

Tu m’aides dans mes épreuves malgré ce que je crois

 

Tu m’enseignes l’amour qui se dévoue malgré tout

Tu me dis que l’amour n’est pas ce que je crois

Tu m’enseignes le pardon et l’amour de moi

Et tu me combles comme dans mes rêves les plus fous

 

Je te demande pardon de mes égarements passés

Mais mon cœur souffrait d’avoir été mal aimé

Et aujourd’hui je veux par ce poème te demander

De continuer de m’habiter et ne pas m’abandonner

 

Je sais je ne mérite pas ton pardon

Mais je te le demande de toute façon

Car sans toi ma vie a été bien triste

Et je me sentais très égoïste

 

Donne-moi la paix dans mon cœur qui pleure encore

Qui est plein de tristesse et de remords

Mais qui n’a jamais oublié malgré tout

Que tu y es présent et même beaucoup

 

Je t’aime Seigneur avec tout ce que je suis

Et j’espère que cette prière montera jusqu’à Toi

Je vais tâcher de faire une meilleure vie

Car je veux la terminer dans tes bras.

 

Christiane Laflamme

 

 

Roxane

 

Jeune et douce demoiselle

Tu entres dans la vie

Soit fier d'être ici

Sur une terre, l'une de celle

 

Qui de ton envie sans doute

Deviendra si grande,maintenant

Soit à l'écoute

De toi,de tes parents

 

Le conseil d'une mère

Et celui d'un père

Vaut mille fois celui d'un dieu

De toi je suis envieux

 

La sagesse de la douce nuit

Me fait faire des écris

Mais crois en un poète nouveau

L'envie de la connaissance vaut

 

Plus encore que celle de la joie

Alors avant de voir le mal

Vois ceux qui t'aime,toi

Vois ceux qui te rends comme normal

 

Une fille qui deviendra femme

Regarde ton papa,ta maman

Regarde dans ton âme

Ceux que tu aimes vraiment

 

Christophe

 

 

Noces de porcelaine

 

En ce jour de félicité,

Puissiez-vous de bonheur être comblés,

Vous remémorant les belles années passées

Et aspirant toujours un peu plus à l'éternité.

Que chaque jour soit meilleur que le précédent,

Enivré de l'amour que nous nous donnerons à chaque instant !

Que le nectar de la vie soit le moment présent

Et que la tendresse, telle le lierre, nous unisse profondément !

 

Aurélie. C

 

 

Veux tu ????


Veux tu venir avec moi dans mon canot
Viens doucement au fil de l'eau
Et permets-moi de t'emmener
Sur la rivière de.......


Chassons d'un souffle, les nuages
Pour voir défiler le paysage
Imprègne-toi de la nature
Écoute l'eau qui murmure
Des mots tendres et apaisants
Elle parle de la vie du vent... tu entends? moi oui
Écoute les oiseaux rieurs
Savoure ces moments enchanteurs
Laisse leur musique t'envoûter
Sur la rivière de ......

Installe-toi confortablement
Dans ce monde fertile et verdoyant
Découvre la sérénité
Dont les richesses te sont données
Laissons couler le temps
Suivons les caprices du courant
Et cessons même de ramer
Sur la rivière de ......

Chasse un à un tous tes soucis
Qui assombrissent parfois ta vie
Les éclaboussures d'écume
T'enlèveront chagrin, rancœur et amertume
Je t'offre un monde de douceur du moins si je le peux
Viens, laisse un peu voguer ton cœur
Vivons une trêve dans ce monde insensé
Sur la rivière de.....

je dédie ce poème a une personne qui devient très importante a mon coeur Loup


 

Ange Bleue

 

 

 

Être avec toi




Pouvoir parler de nos vies, des  projets,
Laisser un peu la nostalgie nous envahir.
Pouvoir me sentir vivre au creux du bonheur,
Près de toi, pouvoir m'épanouis telle une fleur.
Pour oublier les  soucis, les problèmes,
Près de toi, meurent toutes les peines.
Pour que tu sentes en moi de la chaleur
mais tu n'es pas la
Viens tout contre moi, en coeur à coeur.
Pour ne plus avoir peur du temps fuyant,
Pour tout te donner: à toi que j'aimerai tant.

Pour parler de choses drôles, de bêtises.
Tu sais mes pensées sans que je les dise. et oui
Pour se dire, enfin, que la vie est belle
Quand toutes les pensées ont des ailes.
Pour être dans le confort de l'amour,
Pour renaître, chaque nuit, chaque jour.
Pour rester à se regarder longuement,
Laisser les  yeux dire les  sentiments.
Pour échanger des mots tout doux,
Pour laisser un baiser dans ton cou.
Mais tu n'est pas là

Pour serrer ta main dans la mienne,
Pour chauffer ma main dans la tienne.
Pour rêver d'être toujours celui que j'apprend a aimer
Et qu'importent l'heure et l'endroit.
Pour parler tout bas dans ton oreille,

Pour te faire partager mon monde,
Toute ma vie: mes joies, mes ombres.
Pour se livrer à des moments intimes,
Qui nous transportent en haut des cimes.
Mais il es pas encore près de moi

Pouvoir avancer ensemble, main dans la main,
Pour avancer sans que nos efforts soient vains.
Pour ouvrir les  yeux sur un nouveau jour,
Un jour pur, porté par l'espoir et l'amour.
Pour savoir que tu habites ma vie, mon moi,
Pour sentir ton toi au plus profond de moi.
Pour nous envoler dans un ciel sans barrières,
S'enfuir, le temps d'un rêve, de cette Terre.
Pour te couvrir d'un lit de fleurs, de douceur,
Pour dessiner sur ton corps un gros coeur.

Pouvoir trouver et toucher l'infini dans le  plaisirs,
Pouvoir, en se regardant, laisser s'échapper un rire.
Pouvoir r te serrer tout contre moi, si tu as froid,
Pouvoir représenter un refuge contre tes effrois.
Pouvoir déplacer des montagnes avec trois mots,
Qui parfois s'expriment sans que ne se dise mot.

Pouvoir  surmonter les abîmes que l'un ou l'autre traverse,
Pouvoir  être deux êtres entourés de voiles de tendresse.
Pouvoir nous sentir privilégiés, pour s'être trouvés,
Pour croire dur comme fer en nous, en l'éternité.
Pouvoir  recommencer une nouvelle vie avec celui qui viendra
Pourvoir me donner toute entière dans cet amour là.
Pouvoir dire   que je t'aime à jamais,
Que dans ma vie, il y a  ça de vrai.
Pourvoir vivre tes envies, tes rêves, tes jours, tes nuits

je t'aimerai toi qui lira ses mots ils sont pour toi  simplement pour toi

 

Ange Bleue

 

 

POUR ÊTRE HEUREUX

Il ne faut que des fleurs
Un filtre de soleil
Et quelques grains de bonheur
Le cri d'un enfant, le toit d'une maison
Et la brise du vent.

Pour être heureux
Il suffit de s'entourer de vertus
S'emmitoufler d'amour
Se nourrir de passion
Prendre dans sa main celle d'un être cher
Regarder vers le ciel en oubliant la terre
Fermer les yeux sur la passé
Pour les ouvrir sur le rêve.

Pour être heureux
Il ne faut plus penser
Que l'on puisse être malheureux
Il faut changer une larme en sourire
Et aller droit de l'avant.

Pour être heureux
Entre nous...
Il faut si peu !

marti

         AU ZOO

 

Dans les yeux d'un singe,

j'ai vu la misère, l'ennui, la souffrance.

Dans le regard d'un éléphant,

j'ai vu l'envie de s'évader de cette prison.

Dans le regard d'un ours,

j'ai vu l'envie de fuir le monde de l'homme,

la peur, la pitié, la supplication.

Enfin dans les cris d'un dauphin,

j'ai compris que je vivais dans un monde pourri,

dans une société de misère animal et humaine.

j'ai pensé aux enfants du tiers monde,

aux malades, aux handicapés, à la mort.

A la haine de l'homme pour  l'homme,

a la haine de l'homme envers les animaux.

L'homme ne voit que l'argent, encore et toujours l'argent.

Mais la misère de l'être vivant, on s'en fout.

L'humiliation d'un être dans une cage, on s'en fout.

Enfermé à vie, condamné sans avoir été jugé,

sans savoir ni pourquoi ni comment?

Expatrié à vie pourquoi?

La France, L'Amérique, L'Angleterre.

Et je ne sais où encore?..................

 

Retirer de son élément naturel un animal,

c'est le condamner a mort a petit feu....................

 

 

Poème de Nathalie DUHAMEL écris en juin 1979 après une douloureuse

visite au zoo de Marseille (Alpes Maritimes)

 

                                                          Nathalie

 

Avec toi

 

J'aimerais être une larme pour sortir de tes yeux ,

Vivre sur ta joue ,

Et mourir sur tes lèvres  .

 

Ysis (Maeva)

 

 

A tous mes professeurs

 

Durant toute cette année

J’ai été ravie de vous avoir

Car vous m’avez apportée

Votre soutien , votre savoir

 

Merci pour votre patience

Quand je ne comprenais pas

Merci  pour votre confiance

Merci d’avoir été là

 

A tous mes professeurs

Je veux dire aujourd'hui

Que mon plus grand bonheur

Est de vous dire encore merci

Nanou

 

 

mon vieux

dans son vieux pardessus râper

il s'en allais l hivers,l'été

dans le petit matin frileux mon vieux

il n y avait qu un dimanche par semaine

les autres jours s étais la graines

qu on allait gagner

comme on peut mon vieux

l été on allait voir mer

tu vois  sétais pas la misère

ce n étais pas non plus le paradis

le reste temps

dans son vieux pardessus râper

il a pris pendant des années

le même bus de banlieue mon vieux

le soir en rentrent du boulot il s asseyais

sans dire un mot

il était du genre silencieux mon vieux

le dimanche il mettait la table

on ne recevait jamais personnes

ca ne le rendais pas malheureux

je crois mon vieux

dans son vieux pardessus râper

les jours depaie quand il rentrait

on l entendais geuler un peu

il connaissait la chanson

toute joie passait

le patron par la gouche la droite

même le bon dieu avec mon vieux

cher nous n'avions pas la télé

ses  dehors que j allais

chercher pendant quelques heures  d évasion

je sais ses cons

dire que j ai passé des année a coté de lui  sans le regarder

il avait à peine ouverts les yeux nous deux

j auraient pu s étais pas malin faire avec lui un bout de chemin

ca l auraient peut être rendu heureux mon vieux

mais quand on a juste quinze ans on a pas le coeur assez grand

pour loger toute ses choses la tu vois

maintenant qu il est loin diis -ci en pensant à tous sa je me dis

j aimeraient bien qu il soit tout près de moi papa

trouver sur le net

de Daniel Guichard

 

 

Texte écrit par une vieille dame terminant sa vie en "gériatrie". Les soignants ont retrouvé cette lettre sous son oreiller après son décès...02-2OO2

 

La vieille dame grincheuse...

Que vois-tu, toi qui me soignes,
que vois-tu ?

Quand tu me regardes,
que penses-tu ?

Une vieille femme grincheuse,
un peu folle,
le regard perdu, qui bave quand elle mange et ne répond jamais
quand tu dis d'une voix forte
"essayez" et qui
semble ne prêter aucune attention à ce qu'elle fait...

Qui docile ou non,
te laisse faire à ta guise,
le bain et les repas pour occuper la longue journée.

C'est ça que tu penses,
c'est ça que tu vois ?

Alors ouvre les yeux,
ce n'est pas moi.

Je vais te dire qui je suis, assise là, tranquille,
me déplaçant à ton ordre,
mangeant quand tu veux...
je suis la dernière des dix,
avec un père, une mère;
des frères, des soeurs
qui s'aiment entre eux...

Une jeune fille de seize ans,
des ailes aux pieds,
rêvant que bientôt elle
rencontrera un fiancé...

Déja vingt ans,
mon coeur bondit de joie
au souvenir des voeux que j'ai fait ce jour-là.

J'ai vingt-cinq ans maintenant et un enfant à moi,
qui a besoin de moi, pour lui construire une maison...

Une femme de trente ans, mon enfant grandit vite; nous sommes liés l'un à l'autre par des liens qui dureront...

Quarante ans, bientôt il ne sera plus là,  mais mon homme est à mes cotés et veille sur moi.

Cinquante ans,
à nouveau jouent autour de moi
des bébés.

Nous revoilà avec des enfants,
moi et
mon bien-aimé.

Voici les jours noirs,
mon mari meurt.

Je regarde vers le futur
en frémissant de peur
car mes enfants sont très occupés pour élever les leurs  et je pense aux années et à l'amour que j'ai connus.

Je suis vieille maintenant et la vie est cruelle et elle s'amuse à faire passer la vieille pour folle.

Mon corps s'en va.
Grâce et forme m'abandonnent.

Et il y a une pierre là où jadis il y avait un coeur.

Mais dans cette vieille carcasse,
la jeune fille demeure.
Le vieux coeur se gonfle sans relâche.
Je me souviens des joies et des peines. Et à nouveau je revis ma vie et j'aime .
Je repense aux années trop courtes et trop vite passées
et accepte cette réalité implacable.

Alors, ouvre les yeux, toi qui me regardes et qui me soignes.

Ce n'est pas la vieille femme grincheuse que tu vois...

Regarde mieux et tu verras...

Source : Nicloe Le G

 

 

 

       A TOUS LES AMOUREUX


  OUI, A TOUS LES AMOUREUX
JE SOUHAIT UNE EXCELLENT
  FÊTE AVEC DE LA TENDRESSE 

TOUTE LA VIE ET DU BONHEUR

 AUSSI TOUTE LA VIE;
 POUR LES ISOLES
  QU ‘ ILS TROUVENT
      UNE FAMILLE POUR ÊTRE HEUREUX.

 POUR CEUX QUI N ‘ ONT
  PAS DE LOGEMENT DU TRAVAIL
 ET UN LOGEMENT CONFORTABLE
 POUR FONDER UNE FAMILLE

FAIT A TOULON PAR BABOU LE 17/2/05

  

À MON AMI

Cupidon, le Dieu de l’amour

Pourquoi? As-tu percé mon cœur

De jeunesse, du haut de ta tour

Sachant qu’il sera déjà ailleurs

Me laissant ce perdu, sans retour

Souvenir d’une lointaine lueur.

 

Cupidon, de ta flèche tu choisis

Symbole  recherché de l’amour

Où étais-tu ce jour, mon appui

Que l’ange de ses ailes de velours

Était venu l’ayant accueilli

Là haut là haut pour toujours.

 

Cupidon, blessé je fus

Ce jour là versant des larmes

Chaudes, pleines de tristesse émues

Le cœur meurtri sans arme

Spectacle, brouillant ma vue

Cœur déchiré jusqu’à l’âme.

 

Cupidon, sans un mot d’espoir

Tu m’as quand même fait un cadeau

Je garde dans mon cœur, pouvoir

L’aimer jusqu’au delà, plus haut

Des cieux, rejoindre un jour, le voir

Briller comme les étoiles, sans mots.

 

Cupidon, le Dieu de l’amour

Toi qui projettes tant de chaleur

Parfois tristesse, de ces jours

Plus sombre, mais sans trop de rancœur

Paix amour recherchons toujours

Sur terre le secret, c’est le bonheur.

 

Poème inédit

Jacqueline Savard

Passer une belle journée x x x x x x x

Bonjour mes amis(es)

Mon amie Rosanne m'a fait ce beau cadeau,

avec mon poème! Je le partage avec vous!!!

Aujourd'hui  pour la ST Valentin.

Bonne fin de journée amusez vous bien!.

Amicalement Jacqueline

 

Bonne fête des mères

Je me souviens chère maman,
Toute petite tu me berçais.
Je me souviens d'un mal de dent,
Ta joue contre la mienne m'apaisait.
Je me souviens de ton sourire ardent,
Tout de toi à mes yeux m'enchantait.

Je me souviens des belles chansons,
Berceuses si douces à mon oreille.
Je me souviens, à ma façon,
D’une mère au grand coeur sans pareil.
Je me souviens de l'émotion
Que mon être ressentait à merveille.

Je me souviens d'une mère
Toujours agréable et fière.
Je me souviens, parfois lui déplaire,
Mais sans être trop grossière.
Je me souviens, me donnant des airs,
Pour mieux passer mes manières.

Je me souviens du temps passé,
Où, aujourd'hui c'est à mon tour
Je me souviens t'avoir regardée,
Pour suivre tes traces avec amour.
Je me souviens de tes yeux mouillés,
De voir partir, les tiens à leur tour.

Maintenant, je suis mère et grand-mère.
Je suis plus jeune que jamais.
Je vis aujourd'hui, non pour hier,
Demain sera ma surprise, qui sait?
Mon âme en paix solitaire,
Vivre dans l'amour, rêver de paix.
 

Jacqueline Savard
Poème Inédit

savardroy@globetrotter.net

http://www.chezjacqueline.net

http://cheztetite.com

 

Cruelle destinée

 

Tous les jours, ici ou très loin
Des filles , des garçons , chaque matin
S'en vont en bandes et entre copains
A l'école, au collège ou au lycée du coin

Et moi, je reste là à ruminer mon chagrin
A méditer sur mon sort et ce triste destin
Qui m'a ôté mes moyens et m'a laissé sans soins
Mais par chance a gardé mon esprit sain

Pourrai-je encore supporter cette injustice
Moi dont la vie est un interminable supplice
Et demander aux autres tout un sacrifice
Pour qu'au rang d'être humain je me hisse

Accepter, accepter encore et réagir
Ce sont des mots faciles à dire
Ma vie à moi n'a pas d'avenir
Je ne peux ni en profiter ni en jouir

Tassé toute la journée dans un coin
Mon corps chétif manque de soins
Des amis, je n'en ai point
D'amoureuse encore moins


 

Mais, il faut garder espoir me dit-on
La recherche avance grâce au Téléthon
La maladie à vaincre, voilà notre but
Et mon corps chétif deviendra robuste

Grâce à vous, grâce à nous, grâce à eux
Tous ensemble, d'un élan généreux
Nous rendrons la santé à l'enfant
La joie et le bonheur à ses parents

Loin de vous mais aussi tellement proche
De mon Maroc natal je m’accroche
A l'espoir permis par vos dons
Tout ça grâce au Téléthon

 

Omar KOUSSIH (nov. 2004)

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